Marseille face à l’inquiétante progression de l’islamisme
Près de la moitié des mosquées de la ville sont contrôlées par des tenants de l’islam radical qui jouent un rôle important sur la recrudescence de la pratique religieuse notable depuis 2020.
Le procès, ce mardi, de l’imam de la mosquée des Bleuets pour apologie du terrorisme doit être replacé à la fois dans le contexte marseillais et dans l’histoire de l’islamisme local.
Le contexte est bien connu. Une source policière parisienne confie au Figaro que sur 62 mosquées recensées à Marseille, 25, soit quelque 40 %, sont contrôlées par diverses obédiences islamistes : « salafisme », « frérisme », dans la mouvance des Frères musulmans, « salafo-frérisme » ou encore « tabligh », du nom de ce mouvement prosélyte et fondamentaliste né en Inde.
À cette toile de fond s’ajoute une évolution constatée par les services de l’État. Avec notamment, dans les cinq dernières années, une forte hausse de la pratique religieuse, notamment de la prière du vendredi, qui a connu une hausse de 50 % du nombre de fidèles. Dans le même temps, le nombre d’écoles musulmanes a progressé de 30 %.
/ AFP
il est bien temps de s' inquiéter, et ce n' est pas faute d' avoir été prévenu, même par des Marchais et des Jean-Marie !
RépondreSupprimerLes ouvrages sur le grand remplacement se sont multiplié, et ces derniers temps on a Zemmour et de Villiers qui disent clairement les choses !
L' islam est conquérant, l' histoire passée en est témoin, mais nos dirigeants ont préféré l' immédiat au futur !
Dire que les frères musulmans sont interdits en terre arabe
Bonne journée
Amitié
Il est trop tard pour s'en inquiéter !!!
RépondreSupprimerLes musulmans ont toujours été nombreux à Marseille premier port dans les relations avec l'Afrique du Nord. Certains réussissent leur intégration, malheureusement Marseille est violente depuis bien longtemps.
RépondreSupprimerBonne soirée
Baba
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